Une invention galloise révolutionne la lutte contre la pollution intérieure générée par les poêles à bois

Un inventeur gallois vient de supprimer le nuage invisible qui plane au-dessus des salons équipés de poêles à bois. Son poêle à pellets nouvelle génération, conçu près de Cardiff, réduit les particules fines d’un facteur vingt selon un rapport DEFRA publié début 2025 : un saut technologique qui place désormais la Bretagne galloise au centre de la bataille pour un air intérieur sain.

Concrètement : plus de porte à ouvrir, plus de fumée qui s’échappe, un tirage géré au millimètre par un micro-processeur. L’appareil allume, dose et brûle les pellets en circuit fermé. Résultat : la chaleur du bois sans les toxiques. L’information est cruciale pour les foyers qui se chauffent déjà, ou songent à passer au granulé. Les détails suivent.

Poêle à pellets gallois : le choc technologique anti-particules

À l’origine, il y a un ancien ingénieur automobile qui déteste les compromis. Pendant sept ans, son garage devient laboratoire. Il part d’un constat : le charme de la flamme attire, la pollution éloigne. Il s’attaque donc au maillon faible : la porte du foyer. Sur un poêle classique, chaque bûche remise en place libère un panache microscopique. Ici, une vis sans fin type Archimède enfouit automatiquement des granulés ultra-secs ( dans un burn-pot fermé. Aucune ouverture, aucun reflux.

Le système récupère l’énergie des fumées chaudes pour pré-chauffer l’air comburant via un équilibrage de type « balanced flue ». Cette astuce – courante sur les chaudières gaz – arrive pour la première fois sur un poêle à bois d’agrément. La boucle est presque déconcertante : l’échappement chauffe l’entrée, le rendement grimpe, la consommation baisse. GreenFlamme devient le surnom officieux donné par les premiers revendeurs.

Combustion pilotée : comment le contrôle numérique chasse les fumées

Le cœur du dispositif est un contrôleur logique programmé pour trois variables : débit de granulés, quantité d’air et température du burn-pot. Toutes les dix secondes, des sondes infrarouges recalculent ces paramètres. PoêlePropre n’est plus un slogan marketing mais un protocole embarqué ; les valeurs limites de CO, NOx et particules PM2.5 sont intégrées dans l’algorithme.

La conséquence se voit dans la flamme. Au lieu des grandes langues jaunes chargées de suie, on observe un cône bleu-orange, court, signe d’une combustion quasi totale. Le bruit ? Comparable à un frigo moderne, loin du souffle de certains ventilateurs d’inserts. Pour l’utilisateur, le geste se résume à remplir la trémie, puis appuyer sur Start. La machine gère le reste, même l’extinction supervisée qui évite les imbrûlés.

Impact sanitaire : des chiffres qui réveillent les consciences

Le rapport DEFRA cité plus haut a testé quinze appareils récents. Les stoves de la firme galloise affichent 0,3 gramme de particules par gigajoule contre 6 g /GJ pour le meilleur poêle à bûches de même puissance. Dans une pièce de 30 m², cela revient à passer d’un air classé « pollué » à un air conforme aux seuils OMS sans ouvrir la fenêtre. Les allergologues de Cardiff y voient déjà un outil précieux pour les patients asthmatiques.

Sur le terrain, un couple de l’Aveyron a remplacé son vieux foyer ouvert par ce modèle. Capteurs AirVitalité placés dans le salon : pic à 12 µg/m³ après allumage, puis retour sous les 4 µg/m³ en moins de dix minutes. Avant, ils frôlaient 80 µg/m³ à chaque flambée. L’argument économique suit : moins de bois consommé, moins de dépôt dans le conduit, ramonage facilité. RespireNature devient un mot-clef sur les forums de propriétaires.

Installation et entretien : le regard des artisans de terrain

Sur le chantier, la principale différence se joue autour du conduit concentrique. Le flexible isolé permet une sortie façade dans 80 % des maisons, évitant le percement du toit. Le temps de pose passe de deux jours à six heures. Un installateur confie : « Avant, si le tirage manquait, la flamme s’étouffait. Là, le ventilateur modulant règle tout. » Les joints haute température se clipsent, plus besoin de mastic réfractaire qui craquelle.

Côté entretien, la vis sans fin se démonte par l’avant. Un aspirateur à cendres suffit pour retirer l’accumulation hebdomadaire. Les économies dépassent le simple sac de granulés : on parle de rendez-vous de maintenance espacés de deux ans, contre un tous les douze mois sur un poêle traditionnel. Pour les occupants, l’opération se limite à vider le bac – propre, car les cendres ne volent pas. Les marques ÉcoRésident et BioFiltres Gallois proposent d’ailleurs des kits filtrants pour recycler cette cendre en engrais potager.

Vers des maisons plus saines : panorama des solutions complémentaires

Le poêle ne fait pas tout. Une ventilation équilibrée, une hygrométrie stable et des matériaux sans émanations complètent le tableau. Des start-up locales comme CleanAir Solutions couplent ce poêle à des capteurs connectés qui pilotent automatiquement la VMC double flux. Le duo réduit le besoin de renouvellement d’air d’appoint, donc la déperdition calorique.

Pour ceux qui aiment le crépitement des bûches, la société PureBûches lance un granulé longue taille qui crépite sans fumer grâce à une résine naturelle. Enfin, le module WelshAir Purifier se glisse sur la sortie et récupère les dernières odeurs pour alimenter un échangeur thermique de salle de bain. Les maisons labellisées SainChezSoi enchaînent déjà les visites portes ouvertes ; le public constate qu’une flamme visible n’implique plus d’odeur de fumée sur les rideaux.

Source: nation.cymru

Quentin, 37 ans et je suis spécialisé dans l’installation de poêles à bois et à granulés. Passionné par mon métier, je m’engage à offrir un service de qualité et à conseiller mes clients sur les meilleures solutions pour leur chauffage. N’hésitez pas à me contacter pour discuter de votre projet !

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